La Shoebox (illustrée ci-contre) a été conçue pour être un outil convivial, plus simple qu’un catalogue constellé de normes ISO et de standards OGC, mais plus aboutie qu’un groupe de disques durs partagés sur un réseau. C’est un outil avec lequel une petite équipe de deux ou trois personnes peut travailler sur un projet. La Shoebox n’est pas trop structurée, elle est facile à mettre en œuvre pour accomplir une tâche commune, et notamment pour partager très rapidement des données.
23 septembre 2009
ERDAS IMAGINE 2010
Si vous êtes allé surfer sur le site www.erdas.com en août, vous avez probablement entendu parler de la Shoebox. Que se cache-t-il derrière ce mot ?
La Shoebox (illustrée ci-contre) a été conçue pour être un outil convivial, plus simple qu’un catalogue constellé de normes ISO et de standards OGC, mais plus aboutie qu’un groupe de disques durs partagés sur un réseau. C’est un outil avec lequel une petite équipe de deux ou trois personnes peut travailler sur un projet. La Shoebox n’est pas trop structurée, elle est facile à mettre en œuvre pour accomplir une tâche commune, et notamment pour partager très rapidement des données.
La Shoebox (illustrée ci-contre) a été conçue pour être un outil convivial, plus simple qu’un catalogue constellé de normes ISO et de standards OGC, mais plus aboutie qu’un groupe de disques durs partagés sur un réseau. C’est un outil avec lequel une petite équipe de deux ou trois personnes peut travailler sur un projet. La Shoebox n’est pas trop structurée, elle est facile à mettre en œuvre pour accomplir une tâche commune, et notamment pour partager très rapidement des données.
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